polynesie française

Une belle île de villégiature pour les Tahitiens, nous avons séjourné dans un hôtel de catégorie supèrieure à nos pensions habituelles, grand bungalow, restaurant super au bord du lagon, plage de sable blond, le luxe quoi...

Peu de variété dans nos activités:

• ballade sur un site archéologique au milieu de superbes Mape (châtaigniers polynésiens),
• plongée dans un site corallien,
• visite du lycée agricole, ses fleurs et arbres enfin nommés, ses cultures d'ananas à perte de vue et même son élevage de cochons avec la techno en musique de fond, dégustation de jus d'ananas frais quel régal,
• spectacle de danses, chants tahitiens qui nous a emballé pour notre dernière soirée.

Et voila, les vacances en polynésie sont terminées, nous sommes enchantés par les 3 types d'îles visitées tellement différentes, les atolls coralliens des Tuamotu, les montagnes des Marquises et les lagons des îles de la Société, mais aussi par les gens, polynésiens, popaa et touristes rencontrés sur l'Aranui que nous saluons.

Un seul hic, le coût de la vie, tout est cher et cela finira par poser un problème; d'ailleurs les touristes se font plus rares.

Et maintenant nous pensons aux retrouvailles avec la famille, les petits enfants qui nous manquent beaucoup et les amis dans 2 jours.

L'île la plus secrète, peu touchée par le tourisme, encore très agricole. Nous logeons dans un bungalow très nature, le sol est en corail, les murs en bambous, il est ouvert à tous les vents (il n'y a pas un souffle d'air et les moustiques sont très nombreux et gourmands). Nous sommes seuls sur une barrière de corail en bordure d'océan. La patronne, une ancienne institutrice à la retraite, est entreprenante, convivale, et très bonne cuisinière (poissons grillés et même langoustes). C'est agréable de pouvoir parler de tout avec tout le monde, toutes les catégories de population sans aucun frein de langue. Nous passons 2 jours à Huahine, un jour à rien faire, lire, marcher au bord de la plage et se baigner, et un jour à faire le tour de l'île en voiture.

Il ne fait pas très beau mais que cette île nous plait, les baies pénétrant très profondément dans la terre jusqu'à former 2 presqu'îles, des petits villages endormis à part la messe du dimanche. Nous assistons d'ailleurs à la fin de la collecte de dons pour l'église protestante. Tous les villages de l'île sont représentés, l'église de Tefarii est bondée, les femmes sont sur leur 31 (voir leurs beaux chapeaux), et les chants à plusieurs voix, superbes. A la sortie de la messe, repas kermesse, nous sommes invités par un Pasteur à la retraite, nous déclinons l'invitation car un buffet tahitien pantagruélique nous attend un peu plus loin. L'après midi commence par une sieste pour digérer, puis nous partons à la recherche de spots coraliens.

Vous voyez nos activités varient peu mais que c'est bien. Nous espèrons que les photos vous donnent une meilleure idée de notre voyage et complètent les commentaires.

Nous avons beaucoup aimé Huahine, nous la quittons pour notre dernière étape, Moorea, toute proche de Tahiti.

Ia ora na (bonjour) de Raiatea, l'île sacrée car siège du Marae Taputapuata, le plus important de la Polynésie, consacré au dieu Oro, dieu de la guerre. Son rayonnement était international dans le monde Maori. Le site est au bord du lagon et vraiment grandiose (pour qui aime les vieilles pierres).

Nous avons logé dans les hauteurs de la capitale administrative Uturoa, chez Max, un popaa (étranger et littéralement grillé), originaire du Cap Ferret. La vue depuis notre chambre est magnifique, le lagon et l'athmosphère ont un parfum de bassin. Nous avons fait le tour de Raiatea en voiture avec un stop pour nager dans un magnifique jardin de corail, très fleuri en bord de motu que nous avons rejoint en kayak. A l'aller pas de problème, au retour difficile de retrouver notre point de départ, la nuit commençait à tomber, Fabrice a assuré.

Le lendemain nous avons continué à profiter du lagon en prenant une excursion en bâteau pour faire le tour de Tahaa, l'île soeur, séparée de Raiatea par un chenal de 3 kms. Cette île est un petit bijou. Nous avons visité une petite exploitation de vanille, vu le travail de préparation et de séchage. La propriétaire était particulièrement intéressante et avait une bonne vision économique de son entreprise (en polynésie les entrepreneurs sont très souvent des femmes et en généralisant les hommes pêchent, boivent et fument du pakalolo dès qu'ils ont du temps libre. Nous avons aussi mangé typique sur un très joli petit motu et plongé tout l'après midi dans une passe où les coraux sont fleuris et les poissons nombreux et colorés.

Voyez nous n'arrêtons pas, nous profitons de tout, nous en prenons plein les yeux et nous vivons des moments magnifiques.

Demain Huahine, un quart d'heure d'avion.

2ème partie du voyage, les îles de la Société.

Nous avons depuis Tahiti réservé un pass avion inter îles, le moyen le plus simple et relativement économique de visiter ces îles. De plus comme nous sommes en période de petites vacances scolaires et que nous souhaitions loger dans des pensions familiales souvent de très petite capacité (3 à 4 chambres) et non dans les hotels de luxe particulièrement chers et anonymes (1000 euros la nuit); nous avons fait toutes nos réservations par téléphone avant de partir avec l'ARANUI. En conclusion nous passerons dans chaque île de la Société 2 à 3 jours.

La première la plus loin de Tahiti, la plus petite, MAUPITI, l'anti BORA BORA, la polynésie du siècle passé, aucun hôtel, de petites pensions simples comme ses habitants qui ont refusé par référendum, la construction de grands complexes hoteliers luxueux avec paillotes sur l'eau et tout et tout .....

Nous y avons passé 2 jours. L'aéroport est croquignolet, les taxis bâteau nous attendent à côté de l'avion; Par pur hasard nous étions avec un couple du sud ouest rencontré sur le bâteau et ayant réservé dans la même pension. C'était très sympathique. La traversée du lagon et l'arrivée par bateau étaient de toute beauté. A 5 heures du soir, au bout du ponton, en face de notre chambre, nous avons plongé dans le lagon et admiré sa faune sous marine. Tous les repas étaient composés de thon cru, cuit, mi-cuit. Nous sommes conquis. La première journée était consacré au tour de l'île, à pied, 10 kilomètres, la deuxième, à rejoindre un motu (ilot frangeant le lagon) en marchant dans l'eau, une thalasso gratuite.

2 jours à MAUPITI, c'était trop court car proche du paradis.

BORA BORA

Arrivée sous la pluie dans le nuage, quelle déception nous ne voyons rien, heureusement la chambre est très bien placée, face au lagon sans aucun vis à vis car les hôtels de luxe sur pilotis commencent à dénaturer le paysage.

Nous louons des vélos pour faire le tour de l'île (35 kms) et nous découvrons que la zone touristique dépassée, l'île est encore vraie et le lagon magnifique. Nous en faisons le tour le lendemain en pirogue. Nous observons les requins, y compris un requin citron de 3 mètres, les raies très douces, les tortues agressives et tous les poissons colorés habitants habituels du lagon. Comme nous restons sur notre faim, nous louons avec un couple de Québecois rencontré sur l'Aranui, un bâteau, pour observer pendant 3 heures les coraux et ses habitants. Le lagon mérite le voyage, nous avons passé la journée dans l'eau, nous sommes fatigués mais ravis; demain départ pour RAIATEA, île centrale de l'archipel, 1/4 d'heure d'avion.

Des anneaux coralliens à fleur d'eau sans le moindre relief. Le dépaysement y est absolu, c'est le paradis des plongeurs et c'est de là que proviennent les perles "noires" de Tahiti.

Visite à l'aller de FAKARAVA( 500 habitants), une bande de terre de 400m, idéale pour jouer les Robinsons Crusoé.

Au retour journée à RANGIROA, un lagon immense qui pourrait contenir toute l'île de Tahiti. Nous sommes précédés par les dauphins qui s'amusent devant la proue du bâteau et nous pénétrons dans un  magnifique lagon turquoise par la passe de Tiputa qui fait briller les yeux de tous les plongeurs car les eaux régulièrement renouvelées y attirent une concentration exceptionnelle de faune en particulier de requins. Nous avons nagé au milieu de milliers de poissons, croisé 5 à 6 requins paisibles et 2 à 3 murènes agressives. Et bien sûr, cela s'imposait, nous avons visité une ferme perlière et acheté de belles perles avec des reflets de différentes couleurs. Marie Hélène est contente.

Et voilà nous sommes enchantés par ce que nous avons vécu et un peu tristes que la croisière soit terminée. Heureusement le voyage continue, à nous les îles de la Société. Et si vous lisez tout bravo, on vous embrasse et on ne vous oublie pas.

Toutes ces îles volcaniques sont hautes et aucun récif de corail ne les borde, donc aucune ressemblance avec les îles de la Société ou les Tuamotu. Elles sont mystérieuses, rudes, luxuriantes, il y pleut souvent (rapellez vous la chanson de Brel), nous avons eu de la chance de les voir toutes sous le soleil avec parfois un ciel trés chargé ce qui rajoute à la magie de ces lieux. Elles sont très peu peuplées, les épidémies apportées par la "civilisation" ont décimé les habitants, elles abritent beaucoup de vestiges archéologiques encore peu exploités. Il faut dire que les difficultés d'accés, un seul port sur la plus grande des îles "Nuku Hiva" et 2 aéroports seulement pour 7 îles les préservent des flux touristiques. En résumé nous sommes encore sous le charme de ces îles.

UA POU (les piliers)

Des colonnes basaltiques qui lui donne un air de chateau baroque.

Une église avec une chaire monumentale figurant une proue de bateau en équilibire sur un filet et sa pêche miraculeuse.

Nos premières danses marquisiennes et notre 1er Haka par des danseurs tatoués(ouah..).

Notre premier repas marquisien chez tata Rosalie (poisson cru, cochon, chèvre, banane et surtout fruit de l'arbre à pain, la base de la nourriture marquisienne, un peu bourratif).

Notre première ballade, aucun plat, mais bon nous avons tenu le choc sans problème.

NUKU HIVA, l'île capitale du nord, bien mise en valeur, avec Taiohae la seule agglomération des Marquises dans une rade en demi cercle de 3 à 4 KM.

Notre dame des Marquises bâtie sur un site sacré qui symbolise bien le mélange entre la religion catolique et les croyances encore vivaces des anciens marquisiens.

4X4  pour aller sur le site archéologique de Hatiheu  bien restauré  qui rassemble des vestiges de plate formes d'habitation, des lieux de festivités et de réunion, des sites religieux où se pratiquaient des sacrifices y compris humains, des pétroglyphes, des fosses alimentaires de stockage et des banians (arbre sacré). Le lieu est magique malgré les moustiques et les nonos, ennemis invisibles à priori redoutables mais aucun problème car nous sommes enduits d'huile protectrice. Nous assistons sur ce site à la danse du cochon, typique de cette île.

Apres avoir mangé un cochon cuit dans un four marquisien, protégé par des feuilles de banane et enterré, montée un peu raide et rapide pour Marie Hélène  mais quel plaisir de découvrir depuis le point culminant la baie superbe d'Anaho (Stevenson a mouillé là avec son voilier).

HIVA OA, l'île de Gauguin et de Brel qui terminèrent leur vie à Atuona, leurs tombes sont trés proches et la vue y est superbe.

A l'aller, visite des 2 musés simples mais intéressants, de bonnes reproductions de Gauguin et un hommage émouvant des Marquisiens à Brel et son avion JoJo.

Un repas japonnais-marquisien, étonnant.

Au retour, visite du nord de l'île et du site de l'Ipona, un des plus importants témoignages de la civilisation pré européenne  avec 5 tikis dont 2 remarquables, le plus grand, représentant un chef guerrier réputé pour sa force taillé dans le tuf volcanique rouge mesurant 2,67m, le plus grand tiki de Polynésie française et le Tiki couché, une princesse en tuf gis allongée sur le ventre, morte en accouchant.

Premier bain de mer aux Marquises, des vagues dignes de Biarritz.

Une ballade dans un tout petit village(Hanaiapa) et ses jardins fleuris luxuriants. Quelle sérénité dans ce lieu.

FUTA HIVA, l'île la plus  méridionnale, la plus luxuriante, la plus reculée, nous en avons fait la découverte à pied, 17 km de Omoa à Hanavavé, une montée difficile, chaude et humide et une descente vertigineuse magnifique. Avant de partir nous avons assisté à la fabrication de tapa (tissu obtenu à partir de l'écorce de bois et décoré avec des motifs de tatouage  marquisien) et à la confection de bouquets et courronnes fleuris et odorants (nous en ramenons).

TAHUATA ,séparée d'Hiva Oa  par le canal du bordelais, la pus petite île, mais si attachante. La spécialité est la sculpure sur os, nous en ramenons quelques spécimens.

Nous y avons vécu un moment trés émouvant, la messe dominicale, recueillie trés gaie et le mariage religieux d'un couple ami rencontré sur le bateau. Tous les passagers étaient là, les enfants du village étaient venus chanter  et le maire du village s'était déplacé. Un souvenir inoubliable.

Nous avons pique niqué avec toute la population, tout le monde était de la fête. Un dimanche hors du temps.

UA  HUKA, une île différente, plus sèche, une atmosphère minérale, des chevaux en liberté.

Une manoeuvre étonnante dans la baie de Vaipe, invisible depuis la mer, le bateau pivote sur lui même dans cette baie particulièrement étroite.

Visite des 3 vallées abitées de cette île spécialisée dans la sculpture sur bois (nous avons fait quelques achats). Un paysage trés "irlandais" avec le soleil en plus et la mer toujours à 30°.

Passage à promimité de l'ïle aux oiseaux, des millers de sternes qui s'envolent au coup de klaxon de l'Aranui, un spectacle inoui .

Tout d'abord nos impressions  de croisière.

Nous en espérions beaucoup et nous sommes vraiment comblés, c'est la manière la plus agréable qu'il soit de visiter les îles Marquises. A recommander sans réserve pour ceux qui souhaitent venir dans cette magnifique région du monde. L'ambiance est "bon enfant", nous participons à la vie des îles avec le transport du frêt.

Les passagers essentiellement européens et non américains comme cela était le cas avant la crise, sont souvent des grands voyageurs, nous avons donc échangé sur des destinations de futurs voyages et nous avons bien sympathisé avec quelques couples que nous espérons bien revoir.

Les marins  sont sympathiques costauds et tatoués ce qui est rassurant pour l'aide qu'ils nous apportent pour monter dans les baleinières ou les barges et débarquer dans des endroits "rock and roll ". Lors de cette croisière nous n'avons rencontré aucune difficulté, la mer était calme, à 30°, et le soleil toujours présent, pas de mal de mer au programme sauf peut être lors du retour vers Tahiti, mais tous les 2 nous avons eu le pied marin.

Les repas étaient excellents que ce soit sur le bâteau ou sur terre dans des restaurants typiques tenus par des "mamies",  nous avons fait une cure de poissons crus, c'est délicieux avec du lait de coco. Les serveuses souriantes, dirigées par un "mahu", un homme efféminé trés charmant et toujours paré de tenues extraordinaires (la coutume tahitienne veut que le 1er  garçon soit élevé comme une fille). Nous avions des stagiaires des Tuamotu qui ont appris au fil de la croisière à se sentir plus à l'aise avec nous. Il faut dire qu'elles voient peu de monde sur leur atoll.

Tout ce monde (marins, serveuses, stagiaires) aprés une journée de travail, au milieu de la croisière, a  exécuté des danses marquisiennes. Fabrice aime beaucoup le déhanché des danseuses et Marie Hélène le Haka guerrier et viril. Lors de cette soirée, au bord de la piscine, des passagaers courageux ont dansé et chanté sous la houlette d'un animateur compétent et attachant, nous ne nous y sommes pas risqués, par contre nous nous sommes habillés couleur locale, Fabrice en paréo short à franges et Marie Hélène avec sa couronne fleurie, à admirer sur la photo.

Les journées avaient un rythme soutenu mais nous pouvions sans difficulté, nous isoler et nous reposer, si nous le voulions. Lever tôt, avec le lever du soleil vers 6H, visite  des îles de 7H30 à 15 ou 16H, beaucoup de ballades à pied pour ceux qui le voulaient (notre cas) et conférence vers 18H, par notre guide passionnant ou un archéologue américain présent sur le bateau (un peu difficile à comprendre) sur l'île du lendemain (son histoire, sa géographie, le programme de la journée). Aprés le repas projection de  documentaire réalisé par la TV de Tahiti présente lors de notre croisière sur des festivals de danse, de pirogue, des personnages polynésiens haut en couleur, coucher tôt vers 21H30.

L'armateur du bateau, un chinois, était présent sur la croisière inter îles. Nous espérons qu'il gardera le concept, avec peu de touristes (environ 100) pour préserver ces îles et ses habitants encore authentiques qui attendent la visite mensuelle de l'Aranui. Ils en profitent pour organiser des fêtes, des danses, des expositions d'artisanat, trés vivant aux Marquises (nous avons acheté partout quelque chose) pour nous bien sûr mais aussi pour eux, comme ils nous l'ont dit. Les distractions sont rares sur ces îles. 

Nous voici arrivés à Tahiti après un long long voyage de plus de 30 heures. Nous ne savons plus quel jour nous sommes, la nuit ou le jour.

Le premier jour, prise de contact avec l'île, sa chaleur humide 30 degrés, sa population très cool, très aimable, puis visite de Papeete, une petite ville coloniale sans grand cachet. Les deux jours suivants, tour de l'île, grande Tahiti et petite Tahit, encore sauvage, préservée. Nuit à Tahiti iti dans une cabane très robinson crusoé sur un site paradisiaque, une lumière étonnante après un gros coup de vent et une pluie tropicale.

Un peu de culture avec le musée Gauguin pas terrible mais sur un site superbe et avec de 2 beaux Tiki (statues type île de Paques), le musée des arts polynésiens très instructif sur la diaspora Mahori venue du sud est asiatique (îles de la Société dont Tahiti, Marquises, Hawaï, Nouvelles Zélande) et enfin dans un lieu empreint de magie le Marae de Paea ancien site cérémoniel.

Un très beau début prometteur, nous sommes ravis et très excités par notre départ demain sur l'Aranui, le cargo pour les Tuamotu et les Marquises. Tout le monde en dit des merveilles.

Nous embarquons vers des îles lointaines, la polynésie française. Nous commencerons par voyager en cargo, pendant 15 jours, de Papeete aux îles Marquises en passant par les Tuamotu. Nous passerons le reste du mois dans les îles de la Société, Bora bora, Mooréa, ....
Il est possible que nous n'ayons pas d'internet à bord du cargo et que le temps dans les îles soit compté, aussi nos premiers messages risquent d'être soit très courts soit après le 15 mai.
Nous espérons comme les autres fois vous faire partager nos coups de coeur et les moments plus délicats et ainsi participer à l'amélioration de votre vie de travailleur.
Bon courage à tous et à bientôt
Marie Hélène et Fabrice